Actualités | Agenda | Contact
Menu
  • Découvrir l'association
  • Qui sommes nous ?
  • Nos valeurs
  • Notre projet
  • Notre organisation
  • Notre contrat de confiance morale
  • Ressources / Dépenses
  • Nos missions et actions
  • Accompagner les patients et familles
  • Favoriser la recherche
  • Promouvoir l’action de VML
  • Vos contacts régions
  • VML en régions
  • En Europe
  • Nos Parrains et Ambassadeurs
  • Les maladies lysosomales
  • Les Maladies Lysosomales, c’est quoi ?
  • Présentation des Maladies
  • Les traitements des maladies
  • Les diagnostics
  • Génétique et Transmission
  • Soutenir la recherche
  • Les Appels d’Offres VML
  • Programmes de recherche financés
  • Le Conseil scientifique et médical
  • Les Clés du Lysosome
  • Financer sa recherche
  • Accompagner les patients
  • Le dispositif F.A.R.E.
  • Les week-ends et journées de rencontre
  • Les séjours de répit
  • Accompagner l’après
  • La Forêt des Anges
  • Découvrirl'association

      Vaincre les Maladies Lysosomales, une association de patients !

      Association Loi de 1901, reconnue d’utilité publique, VML est la seule structure en France permettant à toutes les personnes concernées par l’une des 50 maladies lysosomales de faire entendre sa voix et de mutualiser les investissements dans la recherche scientifique et médicale.
      Dirigée par des parents d’enfant malade et des patients adultes, VML est une association privée dont les ressources sont exclusivement issues de la générosité du public. Touchée par une maladie lysosomale rare ou très rare, chaque personne adhérente dispose du même poids au sein de l’association. Que ce soit pour la recherche médicale ou la revendication des droits des malades, la force de ce collectif offre un pouvoir d’action à chacun.

      En savoir plus

      Qui sommes nous ?
      • Nos valeurs
      • Notre projet
      • Notre organisation
      • Notre contrat de confiance morale
      • Ressources / Dépenses
      Nos missions et actions
      • Accompagner les patients et familles
      • Favoriser la recherche
      • Promouvoir l’action de VML
      Vos contacts régions
      • VML en régions
      • En Europe
      Nos Parrains et Ambassadeurs
  • Les maladieslysosomales

      Sous l’appellation de « maladies lysosomales » sont regroupées plus de 50 maladies handicapantes de l’enfant et de l’adulte dont le point commun est une déficience génétique induisant un défaut de fonctionnement au niveau du lysosome.

      En savoir plus

      Les Maladies Lysosomales, c’est quoi ?
      Présentation des Maladies
      Les traitements des maladies
      Les diagnostics
      Génétique et Transmission
  • Soutenirla recherche

      Premier financeur associatif français dans la recherche scientifique et médicale sur les maladies lysosomales, l’association est un acteur majeur depuis 1992 pour rendre possible une thérapie pour tous. Chaque année notamment, un appel d’offres à projets de recherche scientifique et médicale est lancé. Tout programme soumis à VML rentre dans une procédure d’évaluation et de sélection faisant intervenir des experts internationaux et un conseil scientifique et médical.

      En savoir plus

      Les Appels d’Offres VML
      Programmes de recherche financés
      Le Conseil scientifique et médical
      Les Clés du Lysosome
      Financer sa recherche
  • Accompagnerles patients

      Agir pour faire avancer la recherche scientifique et médicale, permettre l’échange de conseils et le partage d’expériences et faciliter l’entraide sont au coeur des missions de l’association. L’action de VML, c’est aussi l’engagement de professionnels qui apportent une qualité d’accueil et d’accompagnement aux malades et aux parents, mais également une expertise reconnue dans les domaines sociaux, scientifiques et médicaux.

      En savoir plus

      Le dispositif F.A.R.E.
      Les week-ends et journées de rencontre
      Les séjours de répit
      Accompagner l’après
      La Forêt des Anges
  1. Accueil
  2. Actualités
  3. Etude française de la maladie d’Austin
Médico-Scientifique 21 mai 2015
Facebook
Twitter
Retour aux Actualites

Etude française de la maladie d’Austin

Dans une récente publication, biologistes et cliniciens français se sont associés pour décrire l’évolution clinique et la biologie d’une cohorte de 10 patients français ayant un déficit multiple en sulfatases, encore appelé maladie d’Austin.

Le but de cet article est de parfaire la connaissance de cette maladie et d’identifier des marqueurs de pronostic qui permettraient d’améliorer ultérieurement le diagnostic et la prise en charge des malades.

La maladie d’Austin

Décrite cliniquement pour la première fois en 1964, cette maladie est la conséquence d’une diminution de l’activité d’une famille entière d’enzymes : les sulfatases. Il a fallu attendre 40 ans pour comprendre comment le défaut d’un seul gène pouvait affecter les 17 sulfatases actuellement connues. En fait, pour être actives, ces sulfatases ont besoin de subir une modification particulière après leur production (c’est ce que l’on appelle une modification post-transcriptionnelle). Cette étape indispensable est réalisée grâce à une protéine appelée FGE (pour formylglycine-generating enzyme) qui est fabriquée à partir d’un gène nommé SUMF1. Les patients atteints de cette maladie ont des mutations sur le gène SUMF1 qui entraînent un déficit de la protéine FGE et par répercussion un dysfonctionnement de toutes les sulfatases.

Cette maladie, bien que rare, reste probablement sous-diagnostiquée. Moins d’une cinquantaine de malades ont été décrits dans le monde avec des expressions cliniques très hétérogènes pouvant associer les symptômes observés dans chacune des maladies correspondant au défaut d’une des sulfatases : leucodystrophie métachromatique, mucopolysaccharidoses (Maroteaux-Lamy, Hunter, Morquio, ...) et ichtyose liée à l’X.

Classiquement, cette maladie se présente selon 4 sous-types en fonction des symptômes et de l’âge de début. La forme néonatale, dont les symptômes sont similaires à ceux des mucopolysaccharidoses et apparaissent dans les premiers mois de vie, évolue rapidement vers le décès vers l’âge d’un an. Il existe également une forme infantile tardive sévère et une forme infantile tardive modérée, que l’on distingue selon l’âge d’apparition des symptômes (avant ou après 2 ans) et les signes cliniques présents. Enfin, la forme juvénile se caractérise par une apparition tardive et plus atténuée des symptômes.

Résumé de l’article

Dans l’article de l’équipe française, l’évolution clinique des 10 patients a été analysée. Les activités résiduelles des différentes sulfatases ont été mesurées et les mutations du gène SUMF1 déterminées. La concentration urinaire en GAG (glycosaminoglycanes, macromolécules de type sucré) et plus spécifiquement en chondroïtine sulfate (CS), dermatane sulfate (DS), kératane sulfate (KS) et héparane sulfate (HS), les 4 types majeurs de GAG qui s’accumulent dans les maladies lysosomales induites par un déficit en sulfatase, a été évaluée. L’article analyse les 13 mutations trouvées (dont 9 non encore décrites jusque là) et leur impact sur l’expression et la stabilité de la protéine FGE.

Dans la discussion, les auteurs soulignent la grande hétérogénéité clinique de cette maladie et les limites des critères cliniques définis historiquement pour faire la distinction des 4 sous-types de la maladie. L’âge des premiers symptômes n’est pas un bon critère d’évolution et de sévérité de la maladie. Il semblerait que l’âge de début du retard psychomoteur soit un meilleur indicateur et que son association à plusieurs symptômes non neurologiques avant l’âge de 2 ans présagerait une forme plus sévère et rapide de la maladie.

L’étude des mutations et de leur impact ne permet pas de faire ressortir des corrélations très nettes avec la sévérité de la maladie. Un des patients, portant une mutation précédemment décrite comme induisant une forme sévère, développe une forme plus modérée de la maladie que les autres patients. Sa seconde mutation, nouvellement décrite, vient probablement contrebalancer l’effet de la première et atténuer la sévérité.
Malgré la difficulté d’établir de vraies corrélations, il parait clair que les mutations qui diminuent la production ou la stabilité de la protéine FGE induisent des formes plus sévères de la maladie. Enfin, il semble que les activités résiduelles de l’ensemble des sulfatases permettent de prédire la sévérité clinique, alors que l’activité individuelle de chaque sulfatase ne constitue pas un indicateur fiable.

Notons que VML fait partie des remerciés pour son support financier.

Delphine GENEVAZ

Source : Frédérique Sabourdy et al. Orphanet Journal of Rare Diseases (2015) « Natural disease history and characterisation of SUMF1 molecular defects in ten unrelated patients with multiple sulfatase deficiency ». Article en accès libre.

Vaincre les maladies Lysosomales
2 ter avenue de France
91300 Massy
Contact
  • Découvrir l'association
  • Les Maladies Lysosomales
  • Soutenir les patients
  • La recherche avance
  • Actualités
  • Agenda
  • Balade du Lysosome
  • Donner

Certifications

  • ideas
  • don en confiance
  • hon code
  • Association Reconnue d'Utilité Publique

Membre de

  • eurodis
  • alliance maladies rares
© 2017 Concept - Tous droits réservés - Plan du site - Mentions légales